Divers
Prochaines randonnées :
29 Janvier : Oudezeele
La Motte Féodale
Avec : Pascale 8 Km
Départ : salle des fêtes
Covoiturage : 8h30 SSC
Les origines d’Oudezeele
Selon Albert Deveyer dans les noms de nos villages de flandre, le suffixe zeele, est d’origine franc salienne; la zeele, sala en latin est la maison du chef, du seigneur. La zeele a un sens plus noble, plus hiérarchique que le hem qui traduit le simple établissement humain.
Oudezeele serait alors la maison du chef Aldo ou Oudo. Mais Oude peut également venir de vieux, d’ancien peuplement ?
1067: mention de Oudegesela, Oudinghesela
Oudezeele faisait partie du Comté de Flandre, bailliage de Cassel, évêché de Ypres
Patrimoine
Motte féodale de Cornus du Moyen Age au lieudit « Ferme du château de Cornus ».
Eglise de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste, XVIIIème siècle, de style gothique flamand.
La Tradition des Géants
Le géant Jeannot le Boulanger sortie pour la ducasse.
La géante Julia
source : site officiel de la commune
ce que pouvait être une motte féodale
5 Février : Zegerscappel
Circuit Saint-Bonaventure
qui démarre devant l’église St Omer sur la place du village. Sa distance est de 9km. Il s’agit d’une petite randonnée familiale qui mène, sans difficulté, en suivant le cours de l’Yser, sur les traces des Templiers et à la rencontre d’un saint guérisseur.
Avec : Eric 9 Km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sigeri Capella en 111922, Sigerii Capella en 118623, Segers-Capelle en 119322.
Zegerskappel en flamand.
La chapelle aurait été construite à l’initiative d’un certain Sighari ou Sigher24.
Histoire
Zeggerscappel était traversée par une voie romaine (D 52) menant de Cassel à Mardyck à travers la Flandre maritime26.
Selon la légende, Zegerscappel viendrait du franc sigueri capella, ou chapelle du vainqueur. Il aurait été fondé par Clovis de retour de bataille (celle où il a décidé de se faire chrétien ?). Bivouaquant là avec ses soldats, il aurait décidé d’y construire une chapelle.
Zeggerscappel est citée dans une charte du comte de Flandre Thierry d’Alsace , passée entre 1128 et 1167 : l’abbaye de Watten avait reçu du fis de Baudouin Botel la juridiction sur la commune de Zeggerscappel ; le comte Thierry, suzerain de la Flandre, abandonne à l’abbaye de Watten ses droits, donnant ainsi à l’abbaye toute la justice seigneuriale sur ces terres27.
En , Matthieu de Messines et Hugues le Blond de Zegerscappel sont deux personnes réfugiées dans l’abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer (motif de ce refuge inconnu ; ces personnes ont sans doute des liens avec l’abbaye). Adam évêque de Thérouanne, considérant les privilèges de l’abbaye (et notamment le droit de justice sur les personnes situées sur des terres dépendant d’elle), leur permet d’en sortir librement. La consigne donnée par l’évêque n’est pas respectée car quelques jours plus tard, il notifie aux curés de son diocèse que les deux ayant été enlevés par violence de la cuisine de l’abbaye, on doit les mettre en liberté, sous peine d’encourir les censures ecclésiastiques (par exemple l’excommunication que pouvaient prononcer les évêques à l’époque)28.
Avant la Révolution française, Zeggerscappel est le siège d’une seigneurie : en 1225, Laurent, chevalier, seigneur de Zegers-Capple (Sigeri-capella), tient en fief une terre située à Sainte-Marie- Kerque29.
En 1297, le comte de Flandre Gui de Dampierre est en guerre contre le roi de France Philippe IV le Bel, mais perd la partie. Plusieurs terres appartenant à des fidèles du comte vont être utilisées pour récompenser des seigneurs ayant servi le roi, par confiscation sur leurs propriétaires légitimes. Ces confiscations n’ont sans doute majoritairement été que temporaires, néanmoins, en 1298, Baudouin de Sohier-Cappel ou Zegers Capple reçoit de Raoul II de Clermont-Nesle lieutenant du roi, un manoir et des terres situées à Quaedypre confisqués sur Chrétien le Brabantre30.
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d’Ypres, doyenné de Bergues31.
Un Arnoul Clays de Zeggers-Cappel est cité à plusieurs reprises entre 1568 et 1578 comme faisant partie des principaux dirigeants communaux (le magistrat) de Bergues, soit poortmestre ou chef des bourgeois soit chef de la loi. Cet Arnoul aurait été un juriste réputé mais aussi savant, et gendre de Gérard de Mekeren, chevalier, vice-amiral de la flotte de Flandre32,33. La fille unique et héritière d’Arnoul Clays dit de Zegghers Cappel et de Catherine van Meckeren a épousé Jean de Bergh, écuyer, seigneur de Plancques, Schaubroucq, etc
source : Wikipédia
12 Février : Eecke
Le Klockhuis
Avec : Pascale 8 Km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
La première mention historique du village date de 1263, sous le nom Eeke. Eecke signifie « chêne » en dialecte flamand occidental.
Histoire
Le village aurait été fondé par saint Wulmar en 698, qui aurait évangélisé la région au VIIIe siècle, logeant dans le creux d’un chêne(eik en néerlandais). L’église du village est dédiée à sainte Dorothée. On trouve la première mention historique du village en 1263, sous le nom Eeke.
Eecke signifie « chêne » en dialecte du flamand occidental. Elle est jumelée à quatre autres Eecke, quatre autres chênes, en Suisse, Belgique, et Allemagne. Tous les quatre ans, dans l’une de ces communes, a lieu la fête des quatre chênes. La première fête européenne a eu lieu en 1965, en Allemagne.
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d’Ypres, doyenné de Bailleul21.
Jeanne, dame de Bavinchove et d’Eecke, épouse en 1289 Baudouin de Créquy (famille de Créquy), seigneur de Rimboval22, Bazinghem, Avelines, Sains. Ils sont les parents de Arnoul de Créquy, seigneur de Rimboval, Sains, Bavinchove, Eecke, des Planques et des Granges, qui meurt en 1384. Il avait pris alliance en 1347 avec Marie d’Auxy, fille de Jean II d’Auxy, (famille d’Auxy), sire et ber d’Auxy et de Marie d’Encre, dame de Lully. Leur fils Pierre de Créquy, seigneur de Rimboval, Bavinchove, Eecke, etc., meurt en 1418 sans avoir été marié. Il a dissipé presque tout son bien, vendant les terres de Sains, Bavinchove, Eecke. Sa sœur Jeanne de Créquy, épouse de Pierre de Bailleul, seigneur de Doulieu, maréchal héréditaire de Flandre, se qualifiait de dame de Bavinchove et d’Eecke, où elle fonde une chapelle en 140523.
Au XVIe siècle, Eecke est une seigneurie appartenant ainsi que Steenvoorde et Craywick, à la famille de Bailleul : Pierre de Bailleul et après lui son fils Hector de Bailleul, puis son petit-fils Jacques de Bailleul (voir Steenvoorde)24.
Au XVIIe siècle, le seigneur d’Eecke est François de Coorenhuuse-Ram, chevalier, seigneur d’Eecke bourgmestre de Bruges en 1608, 1611, etc., époux d’Antoinette II d’Averoult, chanoinesse de Mons, fille d’Antoine IV d’Averoult (famille d’Averhoult) et de Marie de Lens25.
Au moment de la Révolution française, quelqu’un du village attacha la cocarde nationale à un âne qu’on promena ainsi affublé à travers le village; quatre personnes convaincues d’être les auteurs des faits furent acquittées, le tribunal révolutionnaire du Nord jugea qu’ils ne l’avaient pas fait « méchamment » avec volonté contre-révolutionnaire affirmée26
source : Wikipédia
19 Février : Bailleul
Les étangs de Bailleul
Avec : Danièle 10 Km
Départ : parking Brico Dépôt
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
Le nom de la localité est attestée sous les formes Badgiole au xie siècle, Ballolium en 119329.
Ce toponyme est issu du latin balliculum (palissade), ou d’un mot de base baculum (bâton) et le suffixe diminutif -eolum de présence. Dans les deux cas, la ville a été nommée d’après la palissade qui l’entourait, ou qui entourait le château à la base de l’agglomération[réf. nécessaire].
Bailleul se nomme Belle en néerlandais et en flamand occidental30, Bailleu en picard. Les habitants se nomment Bellenaerd en flamand occidental, Bellenaard en néerlandais.
Histoire ancienne[modifier | modifier le code]
Des silex taillés ont été retrouvés en 1875 sur la colline du Ravesberg, témoignant d’une présence d’hommes de la préhistoire2.
Les origines de la ville de Bailleul remontent à la plus haute Antiquité : Meyer et Gramaye disent qu’elle a été fondée par une colonie de Belges chassés de Bavay au moment où Jules César vint livrer bataille aux Nerviens. La situation de cette ville sur la voie que les romains avaient tracée entre Cassel et Wervik paraît donner à cette légende un fond de vérité ; on a, du reste, trouvé, lors de fouilles au Mont de Lille en 18202, des traces de fortifications et des médailles à l’effigie des empereurs Nerva, Trajan et Domitien. D’autres historiens pensent que le fondateur de Bailleul est un capitaine des Cattes, tribu germanique, s’appelant Bellem. C’est lui qui aurait donné son nom à la ville.
La ville fut détruite par les Francs en 420 et demeura inhabitée pendant deux siècles, jusqu’au moment où, en 621, Lydéric, nommé par Dagobert grand « forestier » de Flandre (en fait gouverneur, -ce vocable utilisé par les historiens serait dû à une erreur de traduction-), « détruisit les bêtes féroces et repeupla le pays ».
Bailleul était déjà connue du temps des Morins, l’histoire de la fondation de la chapelle de Ravensberg contenant ces mots : « SACELLUM IN MONTE COMITIS JUXTA BALLIOLUM IN TERRA MORINENSI ».
Il est à croire que ce pays a été habité par les Cattes dont le Katsberg (mont des Cats) et le mont Cassel ont retenu le nom. Une bataille donnée par Godoald, capitaine des Cattes, eut lieu à un endroit maintenant appelé Godewaersvelde, de Godoaldsveld, soit en français « le champ de Godoald ».
Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bailleul_(Nord)
source : Wikipédia
26 Février : Berthen
sentier de Berthen
Avec : Dominique et Catherine 8 Km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
- D’un nom de personne germanique féminin Bertina, devenu masculin22. Ou d’une forme du genre Berting (la terre de Berto).
- Bertina (1123), Bertine (1182), Bertene (1423), Berthen (1793).
- La commune se nomme Berten en néerlandais.
Histoire
La commune de Berthen était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d’Ypres avant la réorganisation la faisant dépendre de l’archidiocèse de Lille.
La seigneurie de Berthen a été élevée en marquisat par Philippe IV d’Espagne en 1660 en faveur de Georges de Thiennes, maître de camp1.
Le , par lettres de Madrid (la Flandre est espagnole à cette époque), la seigneurie et terre de Berthen, ayant haute, moyenne et basse justice (justice seigneuriale), située au comté de Flandre, relevant de la cour féodale de Bailleul, est érigée en marquisat, en y annexant les terres et seigneuries de Vleminckhove, Noirmont et Houtambach, au profit de Georges de Thiennes, baron de Brouck, seigneur des dits lieux, mestre de camp entretenu, gouverneur, bailli et capitaine des ville et château d’Aire (Aire-sur-la-Lys)23.
Berthen fait partie des villages complètement détruits pendant la guerre de 1914-191824.
source : Wikipédia
5 Mars : Hazebrouck
Le nord d’Hazebrouck
Avec : Danièle 9 km
Départ : restaurant de l’Haze
Covoiturage : 8h30 SSC
Histoire de la ville
Hazebrouck est née vers la fin du premier millénaire, elle se situe au cœur de la Flandre intérieure et signifie littéralement le marais (brouck) aux lièvres (Haze). Son toponyme trouve sans doute son origine lorsque les moines défrichèrent et asséchèrent le cœur d’une vaste forêt marécageuse au début de la chrétienté dans notre région.
Ces travaux ont permis de structurer la culture et l’élevage. La première mention écrite, « Hasbruc », date de 1122, sous Charles le Bon.
Au milieu du XVIe siècle, Philippe II d’Espagne fait connaître à la ville son premier essor économique, en perçant un canal qui favorisa l’expansion de l’industrie textile locale. Trois siècles plus tard, le chemin de fer confortera l’importance de la ville qui deviendra une cible convoitée au cours des deux dernières Guerres mondiales.
Hazebrouck, ville du département du Nord, fait partie de l’arrondissement de Dunkerque, elle est chef-lieu de canton au cœur des Flandres. Ville paisible au cœur d’un noyau stratégique, elle se situe à seulement 40 km de Dunkerque, 43 km de Lille, 56 km d’Arras, 62 km de Calais et 16 km de la frontière belge. A proximité (12 km) de l’aéroport international d’affaires Merville-Calonne, disposant d’un canal, d’un port et d’un pôle gare, la ville d’Hazebrouck est facilement desservie.
source : site de la commune
12 Mars: Méteren
circuit des 4 fils Aymon
Avec : Patrick L 8 ou 10 km
Départ : parking de l’étang
Covoiturage : 8h30 SSC
Méterennoises et Méterennois célèbres
Un peu d’histoire…
Le premier document faisant référence à Méteren est un texte du XIIe siècle. Il s’agit d’un cartulaire, recueil de titres relatifs aux biens temporels de l’abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer, qui en 1158 fait état d’une dîme que l’abbaye perçoit sur une terre sise à Maternes.
Maternes est un des anciens noms du village qui dans les vieux textes s’est également appelé Materna, Materen, Maderen, Méternis , Méternes.
Selon l’abbé Béhague ces noms seraient issus de mader, un mot thiois, la langue primitive des tribus germaniques, signifiant prairie, au pluriel maderen. L’abondance des prairies pourrait donc être à l’origine du nom du village.
L’hypothèse est renforcée par le fait que le thiois était la langue de la tribu germanique des Cattes qui a donné son nom au Mont des Cattes devenu par la suite Mont des Cats.
Une autre hypothèse, développée sur un site Internet de toponymie du Nord (crehangec.free.fr/nord.htm) laisse entendre que le nom de Méteren serait dérivé de Matrae, déesse gauloise des eaux. Elle n’est étayée que par l’omniprésence de la Méteren Becque depuis sa source au pied du Mont des Cats jusqu’à Outtersteene, à 10 km.
En langage héraldique on dit des armes de Méteren qu’elles sont « de gueules à deux clés d’argent affrontées et passées en sautoir, et sur le tout un écusson d’or à trois cors de sable, liés de gueules ».
Pour transposer en langage courant penser que « gueules » correspond à la couleur rouge et « sable » à la noire, qu’un écusson est un petit écu contenu dans un plus grand, que le mot « affrontées » signifie face à face et « en sautoir » en forme de croix de St André.
La Croix de Guerre : a été remise à la commune le 20 juillet 1921 par le général Gascouin en souvenir des sacrifices consentis par la population au cours de la guerre 1914-1918 : destruction totale du village en avril 1918, 110 soldats méterennois morts pour la France.
On ignore l’origine des armoiries de Méteren. L’apparition des armoiries en général semble liée aux tournois de chevaliers qui les arboraient sur leur bouclier afin qu’on puisse les reconnaître. Il en était de même lors des croisades où pour se reconnaître l’on portait haut un étendard où figuraient ses armes. Faut-il en déduire qu’Henri de Materen qui accompagnait Godefroy de Bouillon lors de la première croisade (1090) portait ces armes ?
source : site de la commune
19 Mars: Godewaersvelde
sentier des Katts
Avec : David 10 km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Histoire
Origine du nom
En 1182 Godeverdsvilla, en 1185 Godeversvelda. Il signifie le champ (« veld » en flamand) d’un certain « Godewar », Godefroid en français (peut-être un ancien franc). Localement on le prononce « Godsvelde ». Les soldats anglais durant la première guerre mondiale croyaient qu’il s’agissait du « champ de dieu ».
Historique
C’est un village flamand dont les ancêtres, au cours des siècles, ont travaillé la terre et fabriqué le textile. A la fin du XVème siècle on y comptait autant de travailleurs de laine qu’à Cassel et Steenvoorde.
A 1,5km au sud-ouest du centre du village au lieu-dit « Haghedoorn » signifiant la haie d’aubépine, on peut encore voir une motte féodale de forme ovale. On y remarque une excroissance marquant la base d’une tour. Là où se trouve actuellement une petite remise, se dressait auparavant un château entouré de douves.
A la fin du XIXème siècle le village bénéficia du passage de la voie ferrée Hazebrouck-Poperinge. Le contrôle douanier se faisiat à Godewaersvelde, ce qui explique les dimensions exceptionnelles du bâtiment de la gare, qui est devenu une école.
Un cimetière britanique avec plus de 1000 tombes témoigne de l’horreur de la Grande Guerre 14-18.
L’abbaye du Mont des Cats et l’église abbatiale du Mont se trouvent sur le territoire de Godewaersvelde.
source : site de la commune
26 Mars: Lynde
Bonsberg à Becquerelle
Avec : Catherine et Dominique 7 ou 10 km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
En néerlandais, linde signifie « tilleul ». Sur d’anciennes cartes géographiques, Lynde est nommé Tille (forme romane) ou Linde. Dans un texte du XIVe siècle se trouve la mention paroche (paroisse) du Tilg. Dans certains documents on trouve aussi le terme Houtille.
Histoire
Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer.
Cette commune possédait 2 moulins à vent. Le premier était situé proche du Croquet (au Champ du Moulin). L’autre au centre de Lynde (Bois du Moulin). Sur le cadastre de 1898, seul le premier a perduré.
Pendant la Révolution, en juin 1793, la municipalité s’est opposée à l’enlèvement des cloches tel que décidé par la Convention nationale.
En mars 1906, à l’occasion des inventaires qui suivirent la séparation de l’Église et de l’État, les habitants de Lynde s’opposent aux fonctionnaires chargés de l’opération et s’emparent des fusils des soldats le (deux jours auparavant un homme est mort à Boeschepe tué par la troupe, et la veille le gouvernement est mis en minorité à la suite de cette mort).
Pendant la Première Guerre mondiale, comme nombre de communes en arrière du front, des troupes séjournent à Lynde : en décembre 1914, un journal de marche d’un régiment évoque le « dépôt d’éclopés de Linde », le terme éclopé est régulièrement utilisé dans ce document à propos de soldats blessés.
source : Wikipédia