Archives mensuelles : mai 2017
Prochaines randonnées :
26 Mars: Lynde
Bonsberg à Becquerelle
Avec : Catherine et Dominique 7 ou 10 km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Toponymie
En néerlandais, linde signifie « tilleul ». Sur d’anciennes cartes géographiques, Lynde est nommé Tille (forme romane) ou Linde. Dans un texte du XIVe siècle se trouve la mention paroche (paroisse) du Tilg. Dans certains documents on trouve aussi le terme Houtille.
Histoire
Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer.
Cette commune possédait 2 moulins à vent. Le premier était situé proche du Croquet (au Champ du Moulin). L’autre au centre de Lynde (Bois du Moulin). Sur le cadastre de 1898, seul le premier a perduré.
Pendant la Révolution, en juin 1793, la municipalité s’est opposée à l’enlèvement des cloches tel que décidé par la Convention nationale.
En mars 1906, à l’occasion des inventaires qui suivirent la séparation de l’Église et de l’État, les habitants de Lynde s’opposent aux fonctionnaires chargés de l’opération et s’emparent des fusils des soldats le (deux jours auparavant un homme est mort à Boeschepe tué par la troupe, et la veille le gouvernement est mis en minorité à la suite de cette mort).
Pendant la Première Guerre mondiale, comme nombre de communes en arrière du front, des troupes séjournent à Lynde : en décembre 1914, un journal de marche d’un régiment évoque le « dépôt d’éclopés de Linde », le terme éclopé est régulièrement utilisé dans ce document à propos de soldats blessés.
source : Wikipédia
2 Avril : Nieppe
25 ème édition
Avec : Nieppe Je Marche 7 ou 10 km
Départ : salle Line Renaud
Covoiturage : 8h15 SSC
Au début du VIe siècle, Clovis devint maître de la région. Sous son règne, se développa l’évangélisation avec saint Vaast, évêque d’Arras en l’an 500. saint Amé (+790) concerna plus particulièrement Nieppe puisqu’il fut patron de la paroisse, d’abord seul, puis associé, pour un temps à saint Martin.

Plusieurs hypothèses ont été avancées à propos de l’origine de Nieppe. Ainsi la légende de l’ermitage, selon laquelle Niepkerke aurait été à l’origine, un ermitage, une hutte de branchages adossée à un bosquet d’ormes pour abriter un ermite…
On a supposé aussi qu’une chapelle avait pu être édifiée dans cette clairière par des immigrants venus de la côte. Peut-être ces deux suppositions n’en forment-elles qu’une seule, nos ancêtres ayant fait halte dans cet endroit sûr, autour de l’ermite qui les y avait précédés…
L’explication la plus simple repose sur la traduction même du premier nom de Nieppe..
D’abord clairière dans cette immense forêt qui s’étendait de l’actuelle forêt de Nieppe jusqu’à Warneton et que l’on désignait sous le nom de N’iepen bosch, la « forêt d’ormes », Niepkerke y fut peut-être l’une des premières paroisses.
La langue flamande traduit par iepe l’orme et kerke l’église. Niepkerke aurait été « l’église de l’orme » ou bien « l’église dans les ormes ».

10 Avril : Le Ryveld
La Ryveldoise
Avec : Les Amis du Ryveld 8 ou 12 km
Départ : salle Line Renaud
Covoiturage : 8h30 SSC
Le Drievenmeulen, « moulin à vent » en bois sur pivot (1776) est arrivé à Steenvoorde en 1901 (provenance de Somain). En novembre 1940, suite à une tempête, les ailes et la tête du moulin sont endommagées. La tête est alors remplacée par celle du moulin de Ledringhem brûlé durant la seconde guerre mondiale.
Le Noordmeulen, « Moulin du Nord » (1576) est un moulin en bois sur pivot. L’année de construction du Noordmeulen reste incertaine. Lors de la dernière restauration (entreprise en janvier 1978 pour s‘achever en 1983), la date de 1576 est trouvée sur une poutre. La commune en devient propriétaire en 1975.
source : site officiel de la commune
16 Avril : Godewaersvelde
sentier des Katts
Avec : David 10 km
Départ : église
Covoiturage : 8h30 SSC
Histoire
Origine du nom
En 1182 Godeverdsvilla, en 1185 Godeversvelda. Il signifie le champ (« veld » en flamand) d’un certain « Godewar », Godefroid en français (peut-être un ancien franc). Localement on le prononce « Godsvelde ». Les soldats anglais durant la première guerre mondiale croyaient qu’il s’agissait du « champ de dieu ».
Historique
C’est un village flamand dont les ancêtres, au cours des siècles, ont travaillé la terre et fabriqué le textile. A la fin du XVème siècle on y comptait autant de travailleurs de laine qu’à Cassel et Steenvoorde.
A 1,5km au sud-ouest du centre du village au lieu-dit « Haghedoorn » signifiant la haie d’aubépine, on peut encore voir une motte féodale de forme ovale. On y remarque une excroissance marquant la base d’une tour. Là où se trouve actuellement une petite remise, se dressait auparavant un château entouré de douves.
A la fin du XIXème siècle le village bénéficia du passage de la voie ferrée Hazebrouck-Poperinge. Le contrôle douanier se faisiat à Godewaersvelde, ce qui explique les dimensions exceptionnelles du bâtiment de la gare, qui est devenu une école.
Un cimetière britanique avec plus de 1000 tombes témoigne de l’horreur de la Grande Guerre 14-18.
L’abbaye du Mont des Cats et l’église abbatiale du Mont se trouvent sur le territoire de Godewaersvelde.
source : site de la commune
23 Avril : Saint Jans Cappel
Sentier des Jacinthes
Avec : Brigitte 8 km
Départ : parking du cimetière
Covoiturage : 8h30 SSC
L’histoire du village
Aperçu historique
La légende :
On pense qu’il y a existé un monastère dont la tradition fait remonter la démolition au XIIIe siècle. La dîme de ce village appartenait en grande partie au chapitre de Térouane. Au XVIe siècle, le nom de Sancti Joannis Capella était celui d’une division ecclésiastique du diocèse de Térouane (1560).
La création de la Commune :
La création de la commune de Saint-Jans-Cappel est relativement récente et remonte à l’époque de la Révolution française. Faisant partie de l’ambacht – ou châtellenie – de Bailleul, elle demeura très longtemps une paroisse indépendante sur laquelle l’ambacht exerça relativement peu d’influence. Le 8 août 1788, le roi Louis XVI décide de convoquer à Versailles les États Généraux pour le 1er mai 1789. Comme cela avait été le cas en 1614, il est demandé aux Français de rédiger des cahiers de doléances.
Le 26 mars 1789, les habitants de Saint-Jans-Cappel se réunissent et rédigent les cahiers de la paroisse. 46 foyers sur les 110 que comptait alors le village participent aux débats présidés par Pierre de Lacroix, bailli de la paroisse. C’est vraisemblablement lui qui mit en forme le cahier qui sera porté par Pierre BILLIAU et Benoît HAUSSELLE à l’assemblée bailliagère de Bailleul du 30 mars 1789. Dans leurs doléances, les habitants de Saint-Jans-Cappel réclament notamment :
– la construction d’une route pavée passant par Bailleul, Saint-Jans-Cappel, Berthen et Boeschèpe
– davantage d’argent pour l’entretien des pauvres très nombreux dans la paroisse
– une répartition des terres agricoles entre ceux qui la cultivent alors qu’ils n’en sont pas propriétaires.
– l’érection du village en véritable municipalité indépendante
Un an plus tard, la paroisse de Saint-Jans-Cappel obtient officiellement le statut de commune.
lire la suite sur : http://www.saint-jans-cappel.fr/fr/information/80912/l-histoire-village
source : site officiel de la commune